Site UMMO-SCIENCES - SEMANTIQUE 3- contre argumentation J. Pollion

Contre argumentation de "Compléments sur la sémantique" ( 3/3 )

( semantique-1p )

1.     Introduction.

2.     Une nouvelle méthode de lecture et de transcription des vocables Ummites.
2.1.      Le principe de la méthode de lecture et de transcription.
a)     Définition.

b)     Le graphe de la méthode.
c)     Une possibilité de développement vectoriel de la méthode.
d)     Une possibilité de développement angulaire de la méthode
.
2.2.      La pratique de la méthode de lecture et de transcription.
2.3.      L’exemple des soncepts « U » et « UU ».
2.4.      Exemple de transcription pour BUUAWAA..
2.4.1.       L’algorithme de la méthode.
2.4.2.       le tableau de transcription.
2.4.3.       Le graphe de BUUAWAA..

2.5.      La portée de la méthode.

(semantique-2p )

3.     Un complément important sur le soncept « I ».
3.1.      Principe du complément sur le soncept « I ».
3.2.      L’application de la transcription des soncepts « I » et « II ».

3.3.      Exemple de transcription du vocable OEMMII
3.4.      Exemple de transcription pour l’effet LEEIIYO.

4.     Divers exemples de transcription avec le soncept « I ».
4.1.      La transcription de IBOZOO UU.
4.2.      La transcription de IBOZOO UU avec le dictionnaire idéophonémique.

4.3.      La transcription de UUWUUA IES.
4.4.      La transcription de la phrase « IIAS IBOZOO UU AIOOYEDOO »
4.5.      Conclusion sur la transcription de la phrase « IIAS IBOZOO UU AIOOYEDOO »

( semantique-3p )

5.     Conclusion sur les éléments complémentaires pour la compréhension de la sémantique UMMITE  
Mémento des soncepts révisés.
1.     Introduction.
2.     Tableau des soncepts révisés.

 

Compléments sur la sémantique - Contre argumentation J. Pollion (3/3)

Mémento des soncepts révisés

1.       Introduction

Ce mémento est le complément révisé de celui réalisé par très largement inspiré par celui de J. Pollion qui est consultable sur https://www.ummo-sciences.org/resume.htm. Lorsque j’ai fais un complément ou une modification, aussi minime soit-il, le soncept est noté en bleu. Les soncepts probablement à réviser sont notés en orange.

2.       Tableau des soncepts révisés

 

Phonème

Concept fonctionnel général

Quelques applications du concept suivant la terminologie française

A

Concept d’effectivité

d)       effectif
e)       vérifiable dans cosmos dimensionnel
f)        réel (au sens commun)
g)       réalité dimensionnelle

B ou V

Concept de contribution

a)       apport externe Qu'est-ce qu'un "apport non externe" ? L'idée d'externe est déjà comprise dans apport". J'invite l'auteur à relire Betrand Russell sur les significations véritables de nos mots.
b)       apport contributif Pour moi, cette expression est un pléonasme dont on peut faire l'économie :qu'est-ce qu'un apport non contributif ? Un apport contribue toujours à quelque chose.
c)       contribution

D

Concept de manifestation

a)       forme
b)       apparence
c)       manisfestation

E

Concept de représentation mentale (adimensionnel)

a)       représentation mentale adimensionnelle (ensemble d’images mentales en relation)
Cette expression est une évidente transformation, puisque assemblage de 3 idées fondamentales : ensemble Y d'images mentales E en relation  M = YEM . Que je sache E n'est pas égal à YEM. Il y a ici une incohérence grave, structurelle. 
b)       perception
c)       idée
d)       entité immatérielle, adimensionnelle
Je ne suis pas d'accord. Lorsqu'une entité est adimensionnelle elle fait l'objet d'une qualification complexe et non sous forme de concept élémentaire. Selon la présente définition WOA est E. Ce qui n'est pas du tout exprimé dans les documents.

EE

Concept de représentation mentale stable, permanente (adimensionnel)

a)       modèle mental adimensionnel
b)       modèle immatériel, adimensionnel
c)       patron adimensionnel de forme
d)       plan adimensionnel
e)       séquence codée admimensionnelle
f)        archétype

L'indication adimensionnelle n'est pas correcte. C'est un ajout plutôt non fonctionnel. Un modèle mental est indépendant de son contenu, c'est simplement une idée (E) en situation de permanence, de stabilité (doublement).

Préciser le modèle par la nature de son contenu, c'est quitter la pensée fonctionnelle, pour une pensée "ciblée, objet". 

Par exemple, EEWE qui est un vêtement, fait-il appel à un modèle "adimensionnel" ?

G

Concept de structure

a)       Organisation
b)       Structure organisée Ici aussi, on pourrait réfléchir au caractère "non organisé" de certaines structures. Meritent-elles encore le qualificatif de structures ?

I

concept d’identification

(l’unicité de l’identification est implicite, sinon il n’y pas d’identification !)
Je me suis déjà expliqué plus haut sur l'incompatibilité du concept d'identification et le principe de la pensée fonctionnelle.

a)       Système identifiant ou système d’identification, identification,  Structure identifiante (NB : il est préférable d’utiliser le terme système pour éviter une confusion avec le soncept « G » « structure, organisation, agencement »)
b)       Identifiant (unique) (codé, structurel, chimique, etc.)
c)       Différence strictement identifiante de manière unique ou spécifique (sinon, il s’agira du phonème « W »)
d)       Unicité, quand c’est une identification de manière unique

II

concept d’identification

« a » concept d’identification

concept d’identification stable, permanente, continuité
J'ai déjà expliqué pourquoi un phonème doublé n'a pas sa place dans un tel tableau. Il faut ou mentionner tous les doubles, ou aucun. Le fait que certains phonèmes doublés ont un équivalent assez facile dans notre langue ne leur donne pas un statut logique spécial.

a)       Système identifiant stable ou système d’identification stable, permanent (entre 2 milieux ou référentiels)
b)       identification commune entre 2 référentiels
c)       Limite
d)       Frontière
e)       Membrane

Le même  identifiant identifie une chose d’un « côté » et autre chose de l’autre « côté ». Il y a une identification commune de chaque coté de la limite, une permanence de l’identification.

La limite peut être une « différence » "identifiante" entre ce qui est à l’intérieur et ce qui est à l’extérieur. Une différence qui ne serait pas "identifiante" de manière unique, est dans ce cas une différence qui est de nature simplement « informationnelle », c’est à dire relative au soncept « W ».

Au sens systémique de Ludwig Von Bertalanffy (3), un système fermé ou semi-ouvert est identifié par sa limite. Les systèmes permettent les échanges de flux (avec les soncepts "L" et "N").

Dans un « effet frontière » (2) LEEIIYO, de chaque coté de « II » les flux sont de nature distincte. L’ « identification » est commune aux deux côtés. La continuité des flux est assurée par « l’identifiant » commun, qui est en quelque sorte un pivot.

Avec le soncept « II » défini comme concept d’identification stable, on vérifie bien l’application à une limite, une frontière, une membrane.

K

Concept de mélange

rapprochement J'ajouterai en secondaire "mélange", sans évidemment suggérer la révision de ce concept fondamental.

L

Concept d’ équivalence

a)       correspondance
b)       transposition

M

Concept de jonction

a)       jointure La jointure est un lieu, une articulation. C'est une formulation objet, complètement en contradiction avec une pensée fonctionnelle.
b)       relation

N

Concept de flux

a)       flux
b)       transfert
c)       écoulement

O

Concept d’existence dimensionnelle

a)       entité dimensionnelle
b)       l'être
c)       créature

R

Concept de réplication

a)       Imitation
b)       réplication

S

Concept de cyclicité

d)       cycle
e)       alternance
f)        récurrence
g)       ondulation
h)       onde
i)         rotation
j)         répétition,
k)       série
l)         etc.

T

Concept d’évolution

devenir

U

Concept de dépendance concrète ou abstraite, par un lien ponctuel

e)       dépendance
f)        soumission
g)       influence
h)       conditions (de la dépendance) Je ne vois pas bien l'idée de condition sans dépendance implicite associée. La mention est inutile et induit en erreur sur le contenu sémantique de ce mot.

UU

Concept de dépendance, stable, permanent

Même remarque que pour EE ou II

d)       mutuellement dépendant
e)       dépendance permanente
f)        continuellement dépendant

(Concerne les champs de force, une relation parent-enfant, la dépendance à la nourriture, etc.)

W

Concept d’information

g)       information
h)       contenu informatif
i)         différence Cette transcription ne fait pas la "différence" avec I. Vous devriez préciser "différence non identifiante" pour rester cohérent avec votre I.  Dans tous les cas, la notion d'identification est incohérente avec la pensée fonctionnelle.
j)         variation
k)       changement
l)         évènement

Y

Concept d’assemblage

a)       ensemble
b)       assemblage
c)       groupe
d)       graphe

L'ajout de nouveaux équivalents dans nos langues, pour n'importe quel soncept n'est pas une révision à mes yeux. La liste des équivalences que j'ai donnée était limité par la volonté de faire court et non envahissant en me limitant aux idées les plus simples et les plus fondamentales.

L'important c'est que chaque nouvel équivalent exprimé comporte bien l'idée de base associée au soncept.

Par exemple, l' "identification" est une opération de traitement, de synthèse comparative et associative des "différences", qui ne sont que ses bases de travail. L'identification a besoin de matière et d'outils, mais jamais, en toute logique, l'idée de l'outil n'a comporté par lui-même de référence à ses accessoires nécessaires.

Voilà une deuxième raison pour laquelle l'identification n'a pas sa place dans la même case que la différence.

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