D357-1
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PDF Traduction JJP, AJH
Dernière Modification: 01/09/2020
Format non encore vérifié.
Titre de la lettre : Lettre d'introduction à la lettre D357.
Date : 12/03/1987
Destinataires : Monsieur Rafael Farriols
Langue d'origine : Espagnol
Notes : 1 lettre de ? pages. Origine GESTO.

Les lettres 357 et 731 sont à notre avis les plus importantes et intéressantes dont nous disposions.

Monsieur Farriol reçut le 19 mars 1987 à Barcelone pour Monsieur Juan Dominguez, une lettre de 5 pages en 2 parties, en introduction, dans le rapport de 26 pages (357-2) plus une page "dessin".

UMMOAELEEUEE

Langue ESPAGNOL
Pays Espagne
Nombre de copies : 15

Ce texte est remis à M. Rafael Farrriols
pour être remis à M. Juan Dominguez
une reproduction peut être faite

Señor Juan Dominguez Montes. Nous vous souhaitons paix et sérénité. Permettez, Monsieur, que nous vous remettions cette lettre jointe à un rapport sur D357-1-ideo1(D357-1-ideo1) qui est destiné à votre épouse Camila, à plusieurs de vos frères désignés dans le document et  à vous-même.

Nous pensons que mon désir que vous envoyiez un salut spécial à notre ami et votre frère Rafael Farriols Calvo pour qui nous ressentons une affection spéciale. peut être satisfait sans gène spéciale pour vous.

Comme vous pourrez le vérifier, le rapport joint à cette lettre que nous vous remettons pourrait être qualifié de très intéressant parmi l'ensemble des messages remis à ce jour.

Il est important parce que, sous une forme descriptive, nous exposons une synthèse de notre doctrine scientifique sur le modèle du WAAM-WAAM (cosmos multiplanaire) qui contient les êtres intelligents OEMMI.

Jugez le comme un exposé didactique mais qui décrit notre conception de l'Univers, le rôle du cerveau, la psyché, l'âme collective et la mort de l'homme. Thèmes transcendants que vous, dans le contexte qui est le vôtre, tentez de décrire séparément en Psychologie, en Cosmologie, en Physique et en Eschatologie Théologique.

Nous avons élaboré un modèle synthétique de ces sciences. Et cela, bien qu'évidemment les OEMMII de la Terre n'aient pas maintenant désir ni obligation de l'assumer, peut présenter un certain intérêt : celui qui découle de la connaissance de notre pensée.

Nous avons préféré nous adresser à vous pour une raison évidente: votre frère espagnol qui nous dactylographiait ces rapports nous envoya un exemplaire (au pays où nous nous trouvions) d'un texte typographié (livre) signé par vous, intitulé "Le Pluricosmos".

Mes frères qui l'ont analysé trouvèrent en lui une impartialité de jugement louable en ce qu'il fait état de l'opinion qu'il s'est faite d'après notre identité. C'est justement ce que nous avons désiré; que toujours vous fassiez allusion à nous.

Nous préférons ne pas vous fatiguer avec d'autres jugements de valeur vis-à-vis de votre conception du Pluricosmos. Il suffit de dire qu'en beaucoup d'aspects vous êtes en accord avec le modèle en vigueur sur notre OYAA.

Nous aimerions que vous révisiez néanmoins quelques notions. Par exemple celle du "Rayon" de courbure d'un Univers. Il est certain que nous pouvons parler de courbure et même de plissement, mais non dans le sens purement géométrique. Dans votre conception, le WAAM de masse infini "a un "Rayon nul", tandis que le WAAM de masse nulle (que nous considérons comme constituant de B.) a "un rayon infini".

Nous craignons que ce soit un modèle mathématique simpliste. Dans  notre conception étudiée, ces Deux Waam représentent les limites d'une famille infinie d'univers effectivement. Mais les deux Waam sont aussi limitrophes et il n'existe pas de centre de symétrie pour le WAAM-WAAM depuis lequel on pourrait mesurer les distances (Rayons) de chaque univers à ce centre. Cela n'a pas de sens de parler de "CENTRE" dans le WAM-WAAM.

Néanmoins, il comprendre votre livre nous a semblé un excellent artifice mathématique pour accéder à l'intuition des concepts de courbure de l'espace et à la déduction de masses réelles dans cette famille d'Univers.

Monsieur Juan Dominguez. Nous aimerions préciser une observation réalisée par quelques-uns de vos frères de nationalité canadienne.

Il est certain que mes frères qui résidèrent chez Madame Margarita Ruiz de Ligori à Albacète possédaient des pièces d'identité (passeports) canadiennes, comme il est certain aussi que quelques-uns  parmi eux possédaient des passeports norvégiens, finnois et danois, avec la même photographie.

Mais ces passeports ne furent pas dans ce cas subtilisés, mais falsifiés par nous (D'autres fois, nous en avons effectivement subtilisés mais en indemnisant ultérieurement leurs vrais propriétaires)

.En ce qui concerne la version que votre frère Antonio Ribera a donnée de notre présence à Albacete, dans son texte typographique "Ummo, l'incroyable vérité", nous aimerions préciser quelques aspects de la chose :

Les termes de la lettre de l'ambassadeur du Canada ou de ses subordonnés citée et reproduite à la page 198 nous ont surpris.

Il est vrai que trois de mes frères (et non deux) se trouvaient dans la ville canadienne de Brandon. Mais il n'est pas vrai qu'ils retournèrent en Germanie le mot espagnol utilisé est "Germania" qui n'existe pas, mais semble un néologisme dérivé de l'anglais Allemagne?. Deux d'entre eux se rendirent ultérieurement à Buenos-Aires (République Argentine). Mon autre frère alla à Hilversum et de là en Espagne. A Hilversum (Pays-Bas) il se consacra à l'étude des caractéristiques géologiques de la région. En Espagne, il se consacra pendant deux mois à l'analyse de la région sismologique sic de Levante.

La description que les journaux et les enquêteurs firent des faits qui se déroulèrent à Albacete nous parait exagérément déformée. Un de vos frères qui lirait le compte rendu s'imaginerait votre soeur Margarita Ruiz réalisant des expériences "répugnantes" sur des animaux en compagnie de ses "mystérieux" hôtes.

Ce qui est certain c'est que Doña Margarita souffrait d'une obsession pathologique à posséder diverses espèces zoologiques, à l'intérieur de son cadre général de maladie mentale (Que vous avez classée comme personnalité paranoïde avec névrose réactionnelle obsessionnelle).

Il est certain que mes frères utilisèrent le dérangement psychopathologique de votre soeur comme couverture de leurs activités de recherche biologique.

Il était inévitable que filtrât dans le voisinage topologique de cette résidence de la rue Mayor la nouvelle qu'il existait un nombre anormal d'animaux et que des hommes, étrangers à l'entourage familial de la dame, entraient dans l'immeuble.

Les rumeurs de maladie mentale contribueraient selon notre jugement à dissiper les autres soupçons, et il en fut ainsi. De cette manière mes frères purent sortir et pénétrer librement en se faisant passer pour des médecins étrangers, comme le "savent" les voisins de rue.

Mais votre soeur Margarita s'est un peu immiscée dans nos études. Elle avait pleine confiance dans ses médecins "danois" et leur permettait d'utiliser ses sous-sols.

La description que firent les journaux des laboratoires est pour le moins, exagérée. Une partie de nos instruments (ceux que nous avions apportés d'OYAAAUMMO) avaient été retirés. Ne demeuraient que des restants de matériel éthicoclinique d'OYAAGAA. Le nombre des animaux vivissequés put impressionner les personnes non familiarisées avec les études biologiques sur cobayes, mais cela n'était pas pertinent. Une préparation anesthésique était injectée aux animaux par voie intraveineuse qui leur empêchait tout type de souffrance.

L'incident en relation avec Margarita, la fille de cette dame fut malheureux en vérité. Croyez-nous. La résection de parties anatomiques du cadavre de Margarita Shelli était nécessaire.

Le spécimen viral qui, par notre erreur, l'avait contaminée, était peu dangereux dans le milieu sanguin normal d'un mammifère vivant.

Un milieu riche en hématine, comme conséquence de la transformation de l'hémoglobine après la mort, produit des effets de type mutagène sur ce virus.

Peut-être que le souvenir pour vous de l'actuelle pandémie d'IMMUNODEFICIENCE ACQUISE vous fera réfléchir sur les effets que cet autre virus, importé de notre OYAA et ensuite muté sur un cadavre, pourrait avoir produit sur la population.

Il était naturel que mes frères envisagent avec effroi une telle possibilité. Il n'y avait pas de raisons éthiques pour opérer d'une manière différente et nous le fîmes voir ainsi à sa Mère, bien qu'en lui occultant une partie de l'inquiétante vérité.

Le fait que postérieurement les goûts morbides de la presse espagnole aient peint l'événement de couleurs aussi sombres est une autre question.

La première idée de séquestrer le cadavre fut envisagée sérieusement par mes frères. Il n'en fut pas ainsi décidé parce que les conséquences pour sa mère auraient été plus graves. N'oubliez pas qu'il nous était impossible de nous dire responsables. Un examen médical aurait identifié notre origine. C'est cela qui nous préoccupait et non l'emprisonnement. Mais le dommage à l'innocente Margarita Ruiz de Lihori était fait. Il nous restait seulement à mouvoir tous nos moyens pour que le procès de cette dame devant les tribunaux de la justice d'Espagne ne la lèse pas gravement.

Nous aurions pu, pour notre part, taire notre implication dans cet incident déplaisant, mais c'était justice de proclamer l'INNOCENCE d'une YIIE d'OYAGAA, victime de notre intérêt pour la recherche.

Tenez compte que, si nous n'avions pas agi comme nous l'avons fait, il se serait déclaré dans les années soixante-dix une épidémie de portée difficile à déterminer, par carence de vos moyens pour la combattre. Il est certain qu'étant nous-mêmes responsables d'une certaine façon de ce développement, nous serions intervenus pour vous offrir les moyens de la combattre, mais nous aurions, en même temps, violé notre norme basée sur une loi supérieure. (UN RÉSEAU SOCIAL PLANÉTAIRE NE DOIT PAS INTERFÉRER DANS L'ÉVOLUTION SOCIALE D'UNE AUTRE HUMANITÉ)

La morbidité psychologique de l'affaire d'Albacete a été créée ultérieurement par quelques intermédiaires sociaux irresponsables, amateurs de sensationnel avides de s'acharner sur n'importe quel événement de ce type.

D'autre part nous voulons nuancer les déclarations de votre frère résidant à Albacete, José (de Zor) Garcia Martinez.

On pourrait déduire de son contexte que les hommes qui rendirent visite à sa mère Consuelo Martinez, serrés dans des vêtements de cuir, pouvaient avoir été mes frères. Soyez assuré, Monsieur G.M., qu'il n'en est rien. Nous ignorons qui ils ont pu être, mais n'oubliez pas, José, qu'en ces jours-là beaucoup d'agents se démenaient, désireux de trouver la piste de mes frères et qu'ils développèrent une activité fébrile à Albacete. Le plus actif de tous: David M. Cook, se mit en contact avec votre frère, Monsieur Panadero, ami de Margarita Ruiz de L. Celui-ci possédait un instrument de Chrome manganèse fabriqué par nous qui nous fut subtilisé dans le laboratoire souterrain. En échange d'une  quantité d'argent, 260.000 pesetas, David M.C. obtint pour son Agence d'Information quelques données sur les activités développées par mes frères dans la maison de la rue Mayor. Soyez assuré, Monsieur J (de Zor), que la mort de Monsieur Panadero ne fut pas provoquée par nous (1)

Note (1) Que votre frère Darnaude et votre frère De Zor aient l'assurance que sur ce point nous n'occultons rien de nos responsabilités. Nous avons fait ainsi, jusqu'à un acte aussi déplaisant qu'une résection chirurgicale sur le cadavre de Margarita S. que nous aurions pu dissimuler. Si la mort regrettable de M. Panadero avait été de notre fait, nous l'eussions confessée.

Au cours d'une longue conversation par voie téléphonique avec votre frère et notre ami Jorge Barrenechea, il nous a supplié de resserrer plus les liens d'amitié en augmentant nos contacts.

Les incidents cités à propos d'Albacete, les morts provoquées par le déchaînement de tout un processus très complexe, sont suffisamment révélateurs du fait que notre présence parmi les hommes de la Terre provoque inévitablement des frictions et des problèmes. Nous devons être très prudents en établissant une stratégie pour minimiser ces effets. D'où nos longs silences.

Nous ne voulons pas, Señor Juan, abuser plus du temps que vous consacrez à la lecture de ce texte.

Nous voulons seulement réitérer notre désir que vous limitiez la diffusion par reproduction photostatique de ces écrits au nombre limité de personnes que nous avons cité dans leur contexte.

Nous nous référons à la reproduction répétée de copies, non à leur lecture, que nous ne pouvons interdire ni même limiter, pourvu qu'il s'agisse de personnes intéressées par notre existence.

Nous savons qu'il est difficile pour vous d'obtenir que vos frères respectent cette demande, car la tentation de distribuer votre texte à vos amis doit être inévitablement forte. Servez-vous comme facteur de frein qu'ils sachent que s'ils le faisaient, ils ne pourraient avoir l'opportunité de recevoir d'autres de nos écrits pendant un long intervalle de temps.

Notre main sur votre poitrine comme expression de notre amitié.

D357-1-ideo2(D357-1-ideo2)
Signature probable: AOXIBOO 3 (fils de) IRAA 6

Monsieur : Récemment: après avoir tapé à la machine le texte dont vous avez la photocopie en mains, nous avons eu une conversation téléphonique avec une de vos soeurs.

Elle nous a demandé : Comment pouvons-nous vous payer ce que vous avez fait?

Et notre réponse s'adresse à vous :

Oui: nous voulons un paiement, un abonnement à notre compte. Que vous et vos frères fassent le possible pour aider vos autres frères dans les moments difficiles et que cette aide soit mutuelle. Que se concrétise simplement l'idéal auquel vous a déjà exhorté simplement Jésus de Galilée sur OYAAGAA, cristallisé dans le principe de Charité. Vous formez un groupe d'OEMMI intéressés par notre culture. Tendez entre vous des liens d'authentique amitié. Que la rancoeur n'altère pas votre système limbique. C'est la modeste mais en même temps importante obole que nous "exigeons de vous" en échange de ces informations. En procédant ainsi, vous modifiez le WAAM-WAAM vers un niveau supérieur à celui que vous imaginez comme nous l'expliquerons dans un prochain rapport cosmologique.

Et n'oubliez pas que ces liens de fraternité et d'amitié peuvent seulement être générés grâce au respect mutuel des idées et des conceptions d'un autre frère à condition qu'elles n'impliquent jamais une imposition basée sur la contrainte et à la force.