D399
T25 - 14/19
PDF Traduction JP, AN
Dernière Modification : 10/02/2019
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Titre de la lettre : Défense de Sesma et Ribera accusés de plagiat
Date : ??/02/1988
Destinataires : Monsieur Joaquin Frances
Langue d'origine : Anglais et Espagnol
Notes : Une lettre envoyée à la fois en anglais et en espagnol dans la même envelope. La version anglaise fait quatre pages (T25-16/19) et la version espagnole fait deux pages (T25-14/15). La traduction française commence par la version anglaise, puis suit la traduction française de la version espagnole qui contient un chapitre de préambule.

Vu les très nombreuses expressions espagnoles dans le texte anglais, il est probable que cette lettre a été écrite originelement en espagnole puis traduite en anglais. C'est ce que semble indiquer d'ailleurs le paragraphe d'introduction à la version espagnole, je cite "où nous avons procédé à réaliser la première version en espagnol". La traduction espagnole qui suit la version anglaise, est donc soit la version originale, soit une retraduction de l'anglais vers l'espagnol. Ci-dessous vous trouverez les traductions en français des deux versions, sachant que chacune des traductions françaises a été faite à partir des textes respectivement anglais et espagnols, sans interférence.

On notera que les mots oummains ont conservés leur phonétiques espagnoles dans la version anglaise.

Le texte de la version anglaise est très aéré. Les expressions espagnoles dans le texte anglais ont été conservées et traduites en note.

UMMOAELEUEE

Nombre de Copies : 1

Adressée à Mr. JOAQUIN FRANCES. Magazine INTERVIU, Calle Roquefort 104, BARCELONA, Postal Code 08015.

Cher Mr. JOAQUIN FRANCES :

Nous croyons que vous ne nous connaissez pas, auquel cas l'affirmation que nous allons vous faire pourrait vous surprendre : Nous sommes OEMMII (des gens), membres d'un groupe expéditionnaire qui habitent OYAAGAA (LA TERRE) depuis le 23 mars 1950 (4 heures GMT), La version espagnole qui suit mentionne le 28 mars 1950. Six autres lettres oummaines font référence au 28 mars 1950 et une lettre au 29 mars 1950, pour l'arrivée sur Terre. La version anglaise de cette lettre mentionne sans ambiguité le 23 mars 1950. On ne peut pas suspecter un 8 mal imprimé qui ressemblerait à un 3, car le 23 est suivi du "rd" (23rd March 1950), or "rd" est une abréviation de "third" en anglais. S'il s'était s'agit du 28, alors on aurait eu "th" (28th March 1950). Il pourrait s'agir d'une erreur du traducteur, si on considère que le texte original a été écrit en espagnol, ce que les nombreuses expressions non traduites, laissent à penser. date à laquelle mes frères descendirent dans les approches de la ville de DIGNE (France), provenant d'un "Astro frio" sic, mots espagnols dans un texte anglais, pouvant être traduit en "Astre froid", mais la lettre est adressée à un espagnol (Planète), dont la prononciation en espagnol serait UMMO (en mettant l'accent sur la syllabe "m"). Naturellement nous ne croyons pas une minute que vous prendrez notre histoire pour autre chose qu'une fiction. Une règle élémentaire de logique scientifique, exige qu'une preuve soit fournie dans toute déclaration de cette nature. Vous comprendrez, Mr. Joaquin, que bien qu'il soit inévitable que vous puissiez penser que nous ne sommes rien que de positifs plaisantins, des excentriques ou des victimes de maladie mentale avec "sindrome delirante" sic, expression espagnole pouvant être traduite en "syndrome délirant", voir plus haut de notre point de vue il nous est impossible

d'adopter quelque autre identité qui pourrait se trouver plus acceptable pour vous, sans dénaturer la vérité.

De plus, pour éviter une discussion blessante, qui ne résoudrait pas la question de notre filiation, interprétez, s'il vous plaît, ce document comme ayant pour origine une "source inconnue, du nom de UMMO".

Monsieur : Dans une "matriz tipografiada" sic, "matrice typographiée" publiée dans le magazine INTERVIU, une équipe éditoriale à laquelle vous appartenez, (Numéro 612 page 87),un de vos frères appelé JUAN JOSE BENITEZ dans une dans une lettre publiée avant l'édition de vos commentaires fait une sérieuse accusation (selon notre opinion) à l'encontre de ses frères FERNANDO SESMA MANZANO et ANTONIO RIBERA JORDA :

Dans une lettre comme celle-là, il déclare que ces auteurs "habrian plagiado" sic "auraient plagié"(dans leurs livres) les rapports envoyés par mes frères de UMMO.

Monsieur : Naturellement, notre compréhension de la langue Espagnole n'est pas aussi bonne que la vôtre, mais nous comprenons que le verbe "plagiar" sic "plagier" a l'acception sémantique que nous expliquons ci-dessous :

"Transcrire dans une matrice de lettres "tipografiadas" sic, imprimées par typographie ou par "via acustica" sic, voie acoustique et par propagation informative ; un texte ou

une production littéraire adressée à un Social Red, sic, mix hispano-anglais pouvant être traduit par "Réseau Social". Red voulant dire "Réseau" en espagnol, mais l'inversion de l'adjectif est de structure anglaise. En espagnol on dirait "Red Social". Il n'y a pas de guillemet autour de cette expression. créé par un processus intellectuel développé par un esprit, dont la paternité est assumée par une autre personne."

Dans ce contexte et si le verbe "PLAGIAR" sic, PLAGIER signifie assumer la paternité d'une production littéraire, il est aussi évident qu'il sera synonyme de "EXPOLIAR, ROBAR, USURPAR, .." sic, SPOLIER, VOLER, USURPER, .. une propriété littéraire, même si ses auteurs peuvent être anonymes. D'un autre côté, il serait légal d'assumer la paternité de versets du Pentateuque ensemble des 5 premiers livres de la Bible des textes védiques. il s'agit ici de textes en formes archaïques du sanscrit, et une virgule aurait été la bienvenue après Pentateuque

L'accusation sérieuse faite contre votre frère FERNANDO SESMA MANZANO, que nous considérons comme calomnieuse, envers quelqu'un qui n'est pas capable de se défendre parce qu'il est décédé, et qui, à l'époque, était un ami bien-aimé de mes frères expéditionnaires, est particulièrement affligeante.

Il est évident que ni FERNANDO SESMA MANZANO dans son livre "UMMO OTRO PLANETA HABITADO" ni ANTONIO RIBERA dans ses ouvrages "EL MISTERIO DE UMMO","UMMO LA INCREIBLE VERDAD" and "UMMO INFORMA A LA TIERRA", sauf d'autres monographies dans diverses langues, n'ont plagié nos rapports, même s'ils ne nous ont pas demandé la permission de les reproduire. (puisqu'ils citent de façon répétée leur SOURCE (UMMO)d'une manière totalement impartiale et qu'ils y allient avec objectivité les doutes qui émergent quant à leur origine.)

Nous ne tentons pas de juger les raisons qui ont conduit votre frère JUAN JOSE BENITEZ a écrire cette accusation arbitraire. Il "ha plagiado" il "a plagié" des textes de nos rapports dans diverses pages de son œuvre, mais nous ne l'accusons pas du tout de nous avoir causé du tort par cette action. Nous avons conscience que c'est un OEMMII (être humain) de bon naturel; un excellent éditeur, un amoureux des énigmes biologiques du Cosmos, et nous l'apprécierions son bon naturel s'il réfléchissait à sa faute et révèlait sa bonté de cœur en rendant son honneur à son frère décédé.

Monsieur : nous n'avons pas de "personalidad juridica" "personnalité juridique" puisque nous ne sommes pas des citoyens légaux d'aucune nation de OYAGAA. Comme nous n'avons pas d'autre moyen, Mr. JOAQUIN FRANCES, nous vous demandons au nom de votre frère décédé, qui est de ce fait dans l'incapacité de se défendre lui-même, d'aider de quelque façon à rétablir la vérité.

S'il vous plaît, permettez-nous, par respect pour vous, de placer nos mains sur votre noble poitrine.

Plymouth (GB) Février 1988

D399-1
(D399-1)

Monsieur:
A la suite de ces paragraphes de clarification, nous vous fournissons la traduction de notre lettre.
Son texte a été dicté par mon frère, directeur de l'expédition d'UMMO sur OYAGAA (Terre) auquel nous sommes soumis.
Les raisons pour lesquelles cette lettre ne vous a pas été envoyée directement à Barcelone sont complexes : tout d'abord, elle nous a été envoyée de Grande-Bretagne en Espagne (Albacete) où nous avons procédé à réaliser la première version en espagnol.
Par la suite, il a été décidé de l'envoyer à votre frère, le médecin espagnol Docteur D. JUAN AGUIRRE CEBERIO pour qu'il en connaisse son contenu et avec la demande qu'il la fasse parvenir à sa destination finale.

La raison d'agir de cette façon est simple : nos lettres, bien que dirigées à un destinataire, nous voulons qu'elles soient; ouvertes, adressées à vos frères dans cette Nation. Vous êtes libre de l'utiliser comme vous le souhaitez, mais son contenu ne restera pas non publié.

TRADUCTION DE NOTRE LETTRE

UMMOAELEUUEE
Nombre de copies: 1

Adressé à M. JOAQUIN FRANCES Publication INTERVIU Calle Rocafort 104 BARCELONA District Postal 08015

Monsieur Joaquin Frances :
Nous pensons que vous ne nous connaissez pas, auquel cas la déclaration que nous allons faire pourrait vous surprendre. Nous sommes OEMMII (des personnes) faisant part d'un groupe expéditionnaire, qui depuis le jour 28-3-1950 (4 heures-16 m -GMT) au cours duquel mes frères sont descendus à proximité de la population de DIGNE (France), se trouvent sur OYAGAA (Terre) provenant d'un "Astre froid" (planète) dont la dénomination exprimée phonétiquement en espagnol, serait UMMO ("m" long). Naturellement, nous ne nous attendons pas que vous croyez en la vérité de notre identité. Une règle élémentaire de logique scientifique exige la fourniture de preuves vérifiables pour tout énoncé de cette nature. Vous comprendrez, Monsieur Joaquín, que même au risque inévitable que vous nous considériez comme de simples farceurs, des excentriques ou des victimes d'une maladie mentale, avec syndrome délirant, et de notre point de vue, il nous est impossible sans déformer la vérité, de nous présenter avec une autre identité plus acceptable pour vous.

Mais pour éviter une polémique ennuyeuse, qui ne résoudrait pas la question de la filiation, interprétez ce document comme "provenant d'une source inconnue : dénominée UMMO."

Monsieur : Dans une matrice typographiée publiée dans le media INTERVIU dont vous êtes membre en tant que rédacteur, (numero 612 page 87) un de vos frères appelé JUAN JOSE BENITEZ, dans une lettre publiée préalablement aux commentaires écrits par vous, formule (à notre jugement) une grave accusation contre vos frères FERNANDO SESMA MANZANO et ANTONIO RIBERA JORDA.

Dans le contexte de cette lettre, il est affirmé que ces auteurs "auraient plagié" (dans leurs livres) les rapports envoyés par mes frères UMMO.
Monsieur : Naturellement, nous ne connaissons pas aussi bien que vous la signification de la langue espagnole, mais nous avons compris que le verbe "PLAGIER" a une signification sémantique que nous exposons ci-dessous :

"Transcrire dans une matrice de lettres typographiques ou par voie acoustique et par un canal de diffusion informative ; Dirigé vers un Réseau Social, un texte ou une production littéraire, généré par un processus intellectuel développé dans le cerveau d'autrui, en s'attribuant sa paternité comme si elle serait de son propre fait."
Dans ce contexte, et si le concept de s'arroger la paternité d'une production littéraire, est synonyme du verbe PLAGIER, il est évident que soient aussi synonymes les verbes EXPOLIER, VOLER, USURPER une propriété littéraire, même si leurs auteurs sont anonymes. Sinon il serait licite de s'attribuer la paternité de certains versets du Pantateuque ou des textes védiques.

L'imputation très sérieuse que nous considérons diffamatoire envers un de vos frères FERNANDO SESMA MANZANO qui pour être décédé ne peut pas défendre et duquel, mes frères expéditionnaires de l'époque, se sentaient (eux-mêmes) comme des amis, nous est particulièrement douloureuse.
Il est évident que ni FERNANDO SESMA MANZANO dans son livre "UMMO OTRA PLANETA HABITADO" ni ANTONIO RIBERA dans ses travaux "EL MISTERIO DE UMMO" ; "UMMO LA INCREIBLE VERDAD" "UMMO INFORMA A LA TIERRA" en plus des autres monographies en différentes langues ; ils plagient nos rapports, même si aucun d'entre eux n'a demandé une autorisation pour les reproduire. (Puisque, à maintes reprises dans son contexte, ils citent honnêtement leur SOURCE (UMMO) en toute impartialité et en clarifiant objectivement les doutes que suggèrent et suscitent leur origine).
Nous n'essayons pas de juger les raisons qui ont poussé votre frère JUAN JOSÉ BENITEZ à écrire cette accusation arbitraire. Il a plagié dans son travail et au cours de plusieurs pages les textes de nos rapports, mais nous ne l'accusons d'aucun dommage -du tout- par son plagiat. Nous savons qu'il est un frère gentil ; excellent écrivain, aimant des énigmes biologiques du Cosmos et nous voudrions qu’il réfléchisse à son erreur, et que sa noblesse d’esprit se manifeste d’une manière ou d’une autre, en rétablissant par une rectification l’honneur de son frère décédé.
Monsieur: Nous n'avons pas de personnalité juridique, car nous ne sommes pas des citoyens légaux d’une Nation d'OYAGAA. Mais nous invoquons notre état d'impuissance légale, Monsieur JOAQUIN FRANCES, pour supplier au nom de votre frère décédé, et donc sans défense, afin que vous contribuiez d'une manière ou d'une autre à rétablir la vérité.
Permettez-nous, Monsieur, qu'en vertu du respect que nous éprouvons pour votre personne, nous mettions, comme il est de notre coutume, notre main sur votre noble poitrine.

Plymouth (Grande Bretagne) Février 1988