D89
T4-48/50
Drapeau espagnol
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Traduction JJP, AJH
Dernière Modification: 20/07/2020
format non encore vérifié
Titre de la lettre : A propos du message à Atienza.
Date : 01/03/1969
Destinataires : Monsieur Francisco Donis Ortiz
Langue d'origine : Espagnol
Notes :

UMMOAELEWE

Langue : Espagnol
Nombre de copies : 3

Francisco Doniz Ortiz
MADRID - ESPAGNE

Honorable monsieur,

Nous avons lu votre gentille réponse à notre message. A travers son contexte nous pouvons observer avec satisfaction que vous accédez avec plaisir à notre demande. Demande que vous n'étiez pas obligé de satisfaire, c'est pourquoi votre attitude doit être l'objet de notre chaude gratitude. Non pour l'effort requis pour l'exécuter qui, comme vous le reconnaissez avec objectivité, est minime mais parce qu'il peut déboucher licitement sur un conventionnalisme social qui vous autorise, et même vous incite, à ne pas porter assistance à des êtres qui se masquent dans un anonymat et dont logiquement les vrais buts ne peuvent être vérifiés.

Conscients de votre situation embarrassante, notre demande a été de telle nature qu'en aucun cas elle ne pourra léser votre propre prestige sacré personnel, puisque transmettre des chiffres à votre mystérieux - pour nous - correspondant ne peut jamais entraîner évidemment aucun risque ni dommage pour vous, comme déjà vous l'avez fait sagement sans être responsable à aucun niveau, public ou privé, du caractère idoine (ou non) de notre témoignage.

Le soupçon qui vous saisit en ce qui concerne l'identité de nos frères, nous le voyons parfaitement logique, compréhensible et intelligent. Nous autres, à votre place, nous aurions aussi été induits à bâtir une hypothèse très semblable. Sans doute après, la résistance de ces hommes à se présenter sans recourir à l'anonymat peut toujours camoufler des mobiles d'une moralité douteuse. Votre méfiance est l'expression naturelle d'une prudence aiguë. Nous ne pouvons nous en sentir humiliés.

Mais nous vous supplions de vous efforcer de comprendre que notre situation vis-à-vis des hommes de la TERRE est au moins aussi embarrassante que la votre.

Par principe, nous ne pouvons offrir de preuves objectives de notre présence parmi vos frères, qui vous servent de témoignage scientifique irréfragable de cette réalité, de cette existence authentique parmi les membres du réseau social de la TERRE.
Cela nous oblige à réaliser un effort tenace de censure dans nos propres document écrits, autocensure que nous rendons aussi très effective dans nos contacts par canal électrophonique (téléphonie).

Nous évitons ainsi tout apport inconsciemment infiltré qui, dépassant certaines limites de qualité d'information, pourrait servir de preuve irréfutable de notre existence.
Ce n'est pas notre intention que vous "croyiez" en notre présence hétéroplanétaire. Une attitude de scepticisme et de doute, exprimés dans votre grand corps social, nous est favorable. Nous réussissons de cette façon d'une part à maintenir le contact avec vos rares frères qui concèdent effectivement peu d'importance au manque de preuves concluantes mais qui nonobstant acceptent à un certain degré notre témoignage..D'autre part, nous ne mentons pas en nous adressant officieusement à vous, bien qu'en privé, si on jauge notre présence physique, nous nous voyons cependant obligés de falsifier le sens authentique de nos affirmations quand, dans la confrontation avec des inconnus de la TERRE, nous nous identifions comme citoyens de n'importe quelle nation, confirmés par de faux documents.

Par notre conduite de caractère clandestin, nous ne cherchons pas à vous causer quelque dommage mais à neutraliser toute réaction psychosociale de conséquences graves pour tous, à obtenir un climat d'incrédulité pour les cas où les notes se rapportant à nous, transitant au travers des véhicules terrestres de l'information, atteindraient un certain niveau inquiétant de diffusion comme dans le cas de votre frère le prêtre catholique Enrique López Guerrero
L'enthousiasme manifesté dans ces situations est pardonnable et excusable. Le tempérament latin justifie et explique de telles réactions. Mais vos frères d'autres nationalités, dans leurs contacts avec nous, ont manifesté une plus grande capacité de réserve et de discrétion intellectuelle.

Il est certain que dans des occasions déterminées il nous est arrivé d'offrir des preuves irréfutables de caractère personnel à certains de vos frères de la Terre, bien qu'alors nous ayons adopté des précautions sévères pour éviter qu'une indiscrétion ou un changement d'attitude avec nous de tels oemmii puisse violer gravement nos normes de réserve.

Nous sommes disposés dans votre cas, M. Donis Ortiz, à vous les donner dans le cas où vous vous offririez comme intermédiaire entre F. ATIENZA et nous. Naturellement, nous ne pouvons exiger un tel contact tant qu'il ne sera pas physiquement interprété, sans que notre présentation matérielle soit confirmée par des arguments qui soient convaincants pour vous, chaque fois que les preuves apportées ne pourront vous être présentées dans l'avenir. Cela est parfaitement possible et nous avons opéré ainsi dans des situations déterminées survenues avec d'autres OEMI de la TERRE.

Nous désirons, monsieur, faire quelques mises au point que nous vous prions de faire parvenir aux personnes humaines intéressées.

Nous ignorons qui peut avoir envoyé à votre frère cet insigne de "Gouvernement" d'UMMO (comme vous l'indiquez) pour brillant au revers. Sans doute, il doit s'agir de quelque confusion explicable et intranscendante puisque nous certifions qu'un tel don n'a pas été fait par aucun de mes frères.

Nous assimilons ce prudent avertissement que nous faisons face à d'hypothétiques buts troubles et immoraux. Nous réitérons que cette illusion voilée ne peut ni ne doit vous offenser puisque parfaitement emboîtée dans les débuts encore embryonnaires de ces relations dans lesquelles une des parties refuse de s'identifier complètement.

Nous comprenons que nos protestations et proclamations d'honorabilité ne peuvent être valides sans caution de notre conduite irréprochable à ce sujet. Monsieur, nous pouvons seulement maintenant vous prier de recueillir notre témoignage parmi nos propres amis de la TERRE qui puissent cautionner notre propre honnêteté.

Aujourd'hui, nous vous transmettons le texte codé que nous vous supplions de faire parvenir à votre étrange communicant Francisco Atienza venant d'une planète, pour nous inconnue, URLN , aussitôt que se présentera une conjoncture favorable pour cette communication orale, télépathique, idéographique ou transmise par quelque moyen estimé techniquement idoine.

1011010111 100101 101000100111 - 110101111110 0100111

Nous vous supplions en tout cas, si vous obtenez une réponse, de ne pas la divulguer au travers de n'importe quel moyen de communication social. Nous pourrions faire pression pour que vous exécutiez cette demande mais nous vous prions très vivement de conserver cette réserve. Nous vous informerons sur le moyen de communiquer avec nous dès que vous nous aurez fait savoir qu'une telle réponse a été obtenue. Elle constituera pour nous un critère qui nous confirmera le caractère idoine du témoignage de F. Atienza, et la base pour savoir s'il désire de nouvelles communications de nous (trois derniers nombres codés).

Comme nous espérons que votre réponse sanctionnera la réalité de ce cas, nous arrêterons les preuves que nous avons offert pour nous identifier devant vous. Nous vous prions en ce qui concerne le point ou la place où nous pourrons réaliser notre première entrevue, nous pouvons vous choisir une localisation qui soit toujours en milieu urbain, central, qui ne vous inspire pas de crainte.

Monsieur, cette faveur est très importante pour nous. Nous accédons jusqu'à vous par le rapport imprimé paru dans la publication périodique L'ACTUALITÉ ESPAGNOLE, non pas tant pour le contexte du témoignage, qui en somme ne contient dans son contenu aucune preuve irréfragable de son authenticité, mais comme l'aval d'un homme d'Espagne de prestige social reconnu et d'honorabilité bien prouvée, attesté par les moyens d'information qui nous conduirons jusqu'à vous.

Monsieur : À nouveau nos respectueux saluts à vous, vos parents et frères de la TERRE qui composent le cercle de vos connaissances. Nous faisons des vœux pour que la nouvelle épreuve du programme APOLO ainsi que les expériences orientées vers Oyaa Vénus et Oyaa Mars de vos frères américains et soviétiques obtiennent de nouveaux succès.

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