E12
D143
TP67
PDF Traduction Probablement JP
Dernière Modification : 24/03/2018
Vérifiée par JP
Pas d'original disponible
Titre de la lettre : Lettre d'une association canadienne à laquelle était joint le document D1435
Date : 30/12/1967
Auteur : Inconnu
Destinataires : Monsieur Enrique Villagrasa
Langue d'origine : Probablement Espagnol
Notes : En pièce jointe, il y avait une page de dérivées et intégrales avec commentaires en français. Il s'agit du document D1435.

On notera l'écriture franco-anglaise de OUMMOMAN. A la fois le son "OU" français en début de mot, et à la fois le suffix "MAN", emprunté du "OOMMOMAN" anglosaxon. Notez que la D1435 est rédigée en français, il est donc probable que l'auteur de cette lettre ait tiré le terme "OUMMOMAN" de textes rédigés en français, mais à destination de Québecquois, familiers de la langue anglaise.
Attention ce document n'est pas d'origine Oummaine !
Il a été produit par un terrien en relation avec le dossier Oummo.

M. Enrique Villagrasa
24, Donoso Cortès
ESPAGNE

MONTRÉAL
30 dec. 1967

Notre très estimé monsieur,

Nous avons été informé par l'intermédiaire d'un de nos collègues de votre lettre à un compatriote étudiant les UFO. Les nouvelles que vous y avez jointes concernaient certains OUMMOMAN avec qui vous avez établi des relations.

Je "Me" suis Secrétaire d'un club privé de compatriotes spécialisés dans des disciplines variées de Philosophie, Science Physique, Anthropologie, Mathématique, chirurgie...

Notre première entrevue eut lieu de façon singulière avec notre président, spécialiste d'Astrophysique, auteur d'oeuvres sur les "quasars" et les "novae" qui était assis dans une boite de nuit avec son épouse, une serveuse lui remit une enveloppe très volumineuse. L'étude de son contenu lui a servi pour la composition d'un de ses textes sur les "étoiles novae" et, de plus, il contenait une histoire qu'il jugea fantaisiste, car les signataires s'autonommaient OUMMOMAN et relataient leur descente dans la vieille Europe, dans les Basses-Alpes françaises, vers l'année 1950.

Les longues lettres devinrent plus fréquentes et pas seulement à notre président, en invitant ensuite plusieurs d'entre nous à nous réunir en sessions périodiques et à discuter leurs rapports. Les OUMMOMAN nous ont offert des témoignages et aujourd'hui c'est un fait avéré pour nous.

Je vous joins une page de leurs écrits, toutes les autres portent un sceau identifiant. Nous possédons des copies photostatiques de toutes.

De plus, ils nous ont commandé de ne pas nous faire connaître, mais nous avons été surpris au vu de vos références, car nous n'attendions pas une telle information d'Espagne. Nous pensons que vous avez agi avec trop peu de prudence en informant nos compatriotes, car cela peut nous causer des préjudices s'ils interdisent de nouveaux contacts provisoirement rompus à ce jour, et nous vous demandons de ne plus écrire avec de nouvelles références à nos compatriotes qui ignorent cette transcendance.

J'espère revenir un jour dans votre beau pays que j'ai connu pendant votre Guerre Civile. Je militais dans les Brigades Internationales qui ont aidé l'héroïque peuple de Madrid. Je connais vos belles avenues et j'espère que Argueyas et Carabanchel ont pu être reconstruits après ces jours funestes.

Nous prenons note de votre adresse pour établir dans un futur immédiat une alliance dans cette passionnante affaire.

Salut, monsieur.